• Les « condamnés à perpétuité », comme les gardiens les appellent, sont autorisés à passer deux heures par jour dehors dans cette cage sécurisée.
    • Les « condamnés à perpétuité », comme les gardiens les appellent, sont autorisés à passer deux heures par jour dehors - individuellement ou quelquefois par deux - dans cette cage sécurisée. Le soleil et l’air frais sont essentiels pour tuer le bacille de la tuberculose.
      © CICR / Zalmaï Ahad / v-p-az-e-00315
  • Grâce à l’aide du CICR ces quinze dernières années, la capacité de diagnostic du laboratoire de la prison de Bakou, en Azerbaïdjan, a considérablement augmenté, contribuant à sauver des vies.
    • Grâce à l’aide du CICR ces quinze dernières années, la capacité de diagnostic du laboratoire de la prison de Bakou, en Azerbaïdjan, a considérablement augmenté, contribuant à sauver des vies.
      © CICR / Zalmaï Ahad / v-p-az-e-00326
  • Le laboratoire de diagnostic de la tuberculose de la prison a quadruplé ces quinze dernières années par rapport à sa capacité initiale grâce à l'aide du CICR qui a fourni du matériel, dispensé une formation et apporté un soutien technique.
  • Un technicien du laboratoire de l’hôpital pénitentiaire de Bakou examine les prélèvements d'expectoration de détenus infectés.
  • Les détenus se promènent dans la cour de l’établissement pénitentiaire spécialisé dans le traitement de la tuberculose à Bakou. Certains patients y restent des mois ou des années en attendant de trouver la bonne combinaison de pilules, de poudres et de piqûres qui les guérissent de cette terrible maladie.
  • Une personne placée derrière les barreaux pour infraction mineure peut se retrouver condamnée à mort si elle attrape la tuberculose par le biais de codétenus.
  • Les enfants sont souvent contaminés par des adultes infectés. Ces petits garçons suivent un traitement dans la capitale géorgienne, Tbilissi, après avoir été contaminés par leur père.
  • Ancien détenu, Rati vient d’achever un traitement de huit mois contre la tuberculose ordinaire.
  • Jeune maman, Julliet a été déplacée durant le conflit armé de 2008 entre la Géorgie et la Fédération de Russie. Elle et son bébé, Peka, sont tous deux atteints de tuberculose et vivent dans un camp proche de la ville de Gori avec les grands-parents du bébé.
  • Vano s'appuie sur Tina pour avoir un soutien affectif lorsque le traitement devient trop lourd sur le plan physique et psychologique. Les patients souffrent souvent d’effets secondaires, notamment de psychose, de perte d’audition et de problèmes de foie.
  • (à gauche) et Vano (à droite) Vardosanidze marchent avec Tina Karanadze (au centre) de la Croix-Rouge de Géorgie, qui travaille avec des patients atteints de tuberculose pour les inciter à suivre scrupuleusement leur traitement jusqu'à leur guérison.

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