• Les lieux de détention sont généralement divisés en plusieurs sections. Dans chacune d’elles, les détenus nomment un shawish, un représentant qui assure la liaison entre les détenus et l’administration pénitentiaire. Les délégués du CICR s’entretiennent systématiquement avec le shawish, qui leur fait part d’éventuels problèmes à examiner au cours de la visite.
    • Les lieux de détention sont généralement divisés en plusieurs sections. Dans chacune d’elles, les détenus nomment un "shawish", un représentant qui assure la liaison entre les détenus et l’administration pénitentiaire. Les délégués du CICR s’entretiennent systématiquement avec le "shawish", qui leur fait part d’éventuels problèmes à examiner au cours de la visite.
      © CICR / G. Kavalerchik / il-e-02575
  • Les entretiens sans témoin entre un détenu et un délégué du CICR sont la meilleure manière de vérifier les conditions de détention et le traitement réservé aux détenus. Ils donnent à ces derniers la possibilité de parler librement de sujets qui les préoccupent et leur offrent une pause dans la routine de la vie carcérale.
    • Les entretiens sans témoin entre un détenu et un délégué du CICR sont la meilleure manière de vérifier les conditions de détention et le traitement réservé aux détenus. Ils donnent à ces derniers la possibilité de parler librement de sujets qui les préoccupent et leur offrent une pause dans la routine de la vie carcérale.
      © CICR / G. Kavalerchik / il-e-02577
  • En ce mois de ramadan, les espaces communs où les détenus sont autorisés à se retrouver quelques heures par jour sont désertés, sauf par ceux d’entre eux qui s’y regroupent pour prier. En temps normal, ces espaces sont des lieux où les prisonniers se rassemblent pour discuter ou s’adonner à des activités comme le basket-ball ou le tennis de table.
  • Le CICR distribue des messages Croix-Rouge, qui contiennent de brèves nouvelles de leurs familles ; les détenus ont la possibilité d’y répondre. Les délégués transmettent également des messages oraux entre les familles et les détenus qui ne reçoivent pas de visites de leurs proches. Il arrive aussi que des détenus signent des procurations à la demande de personnes de leur entourage. En l’absence de ce genre de services, la femme d’un détenu, par exemple, ne pourrait pas effectuer de transactions financières
  • Au terme de la visite, les délégués font part des résultats de leurs observations au directeur. Ils informent en outre les autorités de l’assistance que le CICR compte apporter aux détenus dans le courant de l’année, comme la distribution de livres et de jeux, en fonction des besoins recensés.

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