• Les réfugiés se rassemblent autour des volontaires de la Croix-Rouge du Kenya pour appeler leurs proches. Bien que la plupart d’entre eux soient originaires de la Somalie et du Soudan du Sud, beaucoup d’autres ont fui l’Éthiopie, le Burundi, la République démocratique du Congo, l’Erythrée, l’Ouganda ou le Rwanda, entre autres pays. Prévu en théorie pour 50 000 réfugiés, le camp de Kakuma en abrite actuellement plus de 124 000. À son établissement en 1992, il était destiné à accueillir les réfugiés du Soudan
    • Les réfugiés se rassemblent autour des volontaires de la Croix-Rouge du Kenya pour appeler leurs proches. Bien que la plupart d’entre eux soient originaires de la Somalie et du Soudan du Sud, beaucoup d’autres ont fui l’Éthiopie, le Burundi, la République démocratique du Congo, l’Erythrée, l’Ouganda ou le Rwanda, entre autres pays. Prévu en théorie pour 50 000 réfugiés, le camp de Kakuma en abrite actuellement plus de 124 000. À son établissement en 1992, il était destiné à accueillir les réfugiés du Soudan.
      © ICRC / C. Goin
  • Des collaborateurs du CICR discutent avec des volontaires de la Croix-Rouge du Kenya de questions ayant trait au programme de recherches. Lorsque des enfants sont non accompagnés, le CICR s’emploie à retrouver la trace de leurs proches et à faire en sorte qu’ils puissent rétablir le contact avec eux. Si les conditions le permettent, il aide à réunir les familles.
    • Des collaborateurs du CICR discutent avec des volontaires de la Croix-Rouge du Kenya de questions ayant trait au programme de recherches. Lorsque des enfants sont non accompagnés, le CICR s’emploie à retrouver la trace de leurs proches et à faire en sorte qu’ils puissent rétablir le contact avec eux. Si les conditions le permettent, il aide à réunir les familles.
      © ICRC / C. Goin
  • Des volontaires de la Croix-Rouge du Kenya chargent à bord d’une jeep l’ensemble des éléments nécessaires à l’installation de tentes dans différentes parties du camp, ce qui rapprochera les réfugiés du service de téléphonie mobile.
  • Une réfugiée parle au téléphone avec un parent. Les conflits armés dispersent souvent des familles en les forçant à fuir au-delà des frontières nationales pour se réfugier dans d’autres pays, voire sur d’autres continents. L’accès accru au service de téléphonie mobile et à d’autres outils de recherches a permis à des milliers de réfugiés de rétablir le contact avec leurs proches.
  • Un volontaire de la Croix-Rouge du Kenya compose le numéro de téléphone d’un réfugié qui s’est présenté sous la tente de la Société nationale.
  • Une femme du camp de réfugiés de Kakuma parle au téléphone avec ses proches. Conflits, catastrophes naturelles et migrations dispersent chaque année des milliers de familles. Ceux qui perdent ainsi le contact avec leurs parents souffrent terriblement de ne pas savoir où ils sont, ni s’ils sont en sécurité.

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