• Maison abandonnée dans le village d’Al Jiftlik, dans la vallée du Jourdain. Dans ce village, qui compte 3 700 habitants, les terrains constructibles sont pratiquement inexistants et il n’y a pas de système de traitement des eaux usées.
    • Maison abandonnée dans le village d’Al Jiftlik, dans la vallée du Jourdain. Dans ce village, qui compte 3 700 habitants, les terrains constructibles sont pratiquement inexistants et il n’y a pas de système de traitement des eaux usées.
      © CICR / A. Romenzi / il-e-02306
  • Une mère palestinienne amène son nouveau-né dans un dispensaire médical du Croissant-Rouge palestinien à Al-Jiftlik, dans la vallée du Jourdain. En raison des restrictions qui s’appliquent à la construction et au développement des infrastructures publiques, des milliers d’habitants d’Al Jiftlik n’ont que ce petit dispensaire pour se faire soigner.
    • Une mère palestinienne amène son nouveau-né dans un dispensaire médical du Croissant-Rouge palestinien à Al-Jiftlik, dans la vallée du Jourdain. En raison des restrictions qui s’appliquent à la construction et au développement des infrastructures publiques, des milliers d’habitants d’Al Jiftlik n’ont que ce petit dispensaire pour se faire soigner.
      © CICR / il-e-02307
  • Les enfants d’Abedelhadim Abedelnazik Masaeid dans leur maison, constituée d’une seule pièce, à Al-Jiftlik. Les habitants d’Al-Jiftlik hésitent à agrandir leurs maisons ou à en construire de nouvelles, sachant qu’elles seront démolies.
  • Abedelhadim Abedelnazik Masaeid (39 ans), un fermier palestinien, fait pousser des oignons sur son minuscule lopin de terre à Al-Jiftlik, dans la vallée du Jourdain. Ici, les Palestiniens souffrent d’un manque d’accès à l’eau à cause des restrictions et de l’utilisation inéquitable de cette ressource par les colonies agricoles israéliennes.
  • C’était la maison d’Abedelhadim Abedelnazik Masaeid à Al-Jiftlik. L’armée israélienne l’a démolie en 2007, parce qu’il l’avait construite sans permis ; dans cette zone sous contrôle israélien, il est pratiquement impossible d’obtenir un permis de construire.
  • Un berger palestinien de la région d’Al Mu'arajat, dans la vallée du Jourdain. La situation des Bédouins est de plus en plus difficile ; leurs tentes et les abris pour leurs troupeaux sont régulièrement démolis. Les bergers trouvent de moins en moins de terres sur lesquelles ils peuvent s'installer pour faire paître leurs troupeaux.
  • Ecole palestinienne à Furush Beit Dajan. En raison des restrictions imposées aux constructions, une salle de cette école sert aussi de dispensaire, au détriment de l’école. Le dispensaire est ouvert le samedi.
  • Rafie Mofadi Abu Jish (38 ans) dans l’autobus aménagé dans lequel il vit avec son épouse et leurs quatre enfants, à Furush Beit Dajan. « Les conditions de vie sont épouvantables », déclare-t-il.
  • Une petite Bédouine au nord de la vallée du Jourdain, en Cisjordanie. La région compte de nombreux Bédouins palestiniens depuis le siècle dernier. C’est une communauté agricole traditionnelle, qui vit principalement de l’élevage du bétail et de travaux agricoles saisonniers. Ces Bédouins souffrent des restrictions de mouvement et de construction qui leur sont imposées, ainsi que d'un accès très restreint à l’eau.
  • Un berger bédouin avec son troupeau à Samara, dans la vallée du Jourdain. Depuis des siècles, les bergers bédouins font paître leurs moutons sur ces terres. Alors que l’élevage est le principal moyen de subsistance des Bédouins, les pâturages de la vallée dont ils ont besoin se trouvent dans des zones que les Israéliens réservent à un usage militaire.

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