Tandis que nous pénétrons dans l’enceinte d’une centrale électrique en ruines, c’est comme si la souffrance des êtres qui nous entourent s’abattait aussitôt sur nous. Les lieux sont complètement dévastés, tout comme la vie des nouveaux occupants. Nous nous trouvons dans l’un des abris temporaires aménagés pour accueillir en ce moment des milliers de Syriens qui ont fui la Ghouta orientale, une région en proie à la violence depuis des années.