Eulalia était encore une enfant quand elle a perdu à la fois ses parents et ses frères et sœurs le jour où 80 personnes de Quiquil ont été exécutées lors d'une attaque de la population du village, en 1982.
La blessure est restée ouverte pendant longtemps. En effet, ce n'est que 33 ans plus tard qu'Eulalia et les autres familles ont pu récupérer et enterrer les restes de leurs proches. Le CICR a soutenu les habitants de ce village meurtri pour que les familles puissent enfin honorer et enterrer leurs morts et avoir un lieu digne où ensuite les visiter .
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