Depuis 2010, nous apportons un soutien à l'Institut Saint Kizito (ISK) à travers le renforcement des compétences et le financement de certaines activités.
Depuis 2010, nous apportons un soutien à l'Institut Saint Kizito (ISK) à travers le renforcement des compétences et le financement de certaines activités.
Marie-Rose, étudiante en droit à l’Université du Burundi, se souvient avec douleur de ce qui lui est arrivé : « En 2010, ma jambe droite a dû être amputée à cause d’une maladie. Depuis, j’ai marché à l’aide de lourdes béquilles en bois car je n’avais pas les moyens de m’offrir une prothèse ».
Alice, 26 ans, est l'orthoprothésiste de Marie-Rose. Elle est la seule femme orthoprothésiste du Burundi et elle est la technicienne de choix pour les femmes. Nous avons financé ses études universitaires en Tanzanie.
Les techniciens de l'ISK prennent des mesures pour former la prothèse avant de la délivrer au bénéficiaire.
Un technicien prothésiste de l’ISK vérifie une des prothèses en fabrication.
Grâce à sa nouvelle prothèse, Marie-Rose n’utilise plus ses béquilles pour se déplacer et retrouve sa mobilité.
Marie-Rose a enfin reçu sa prothèse définitive et elle a déjà observé des changements : « Avec cette prothèse, je ne vois plus le vide de ma jambe manquante quand je suis assise et cela me plaît beaucoup », lance-t-elle avec sourire.Grâce à sa nouvelle prothèse, Marie-Rose n’utilise plus ses béquilles pour se déplacer et retrouve sa mobilité.
En 2010, nous avons conclu un partenariat avec l'Institut Saint Kizito (ISK) pour assister les personnes en situation de handicap physique. Grâce à une réorganisation structurelle et le renforcement des compétences des équipes techniques de soins prosthétiques et orthopédiques existantes, l'ISK a amélioré la qualité de ses services, ainsi que l'accès aux soins pour les patients externes.