Tout en se conformant pleinement à cette décision et procédant à la liquidation de ses biens et obligations, le CICR a recherché de manière proactive le dialogue avec les autorités, afin notamment de comprendre les motifs de leur décision et d’y apporter toute clarification utile. Ces démarches n’ont jusque-là pas abouti.
Le CICR regrette la décision des autorités mais reste ouvert à toute reprise de dialogue avec les autorités nigériennes pour reprendre ses activités humanitaires essentielles pour les populations dans le besoin.
Le CICR a mené ces activités durant les derniers 35 ans dans le pays. En 2024, le CICR est intervenu dans les régions de Diffa, Tahoua, Tillabéry et à Agadez, en faveur de plus de deux millions de personnes, affectées par les conséquences du conflit armé, l’insécurité alimentaire et les chocs climatiques.
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