• Agence internationale des prisonniers de guerre, le fichier. Les fiches sont classées par nationalité, puis par ordre alphabétique des noms propres. Des fiches sont également rédigées phonétiquement et en tenant compte des variantes orthographiques possibles du nom de la personne recherchée.
    • Agence internationale des prisonniers de guerre.

      Le fichier. Les fiches sont classées par nationalité, puis par ordre alphabétique des noms propres. Des fiches sont également rédigées phonétiquement et en tenant compte des variantes orthographiques possibles du nom de la personne recherchée.
      © Photothèque CICR (DR) / Boissonnas / hist-01819-28
  • Agence internationale des prisonniers de guerre. Service de recherches, section franco-belge. Les informations sont sollicitées auprès des bureaux de renseignements des gouvernements et des Sociétés nationales du pays où a eu lieu la disparition ou la captivité. Si on ne trouve pas l'information, on ouvre une enquête.
    • Agence internationale des prisonniers de guerre.

      Service de recherches, section franco-belge. Les informations sont sollicitées auprès des bureaux de renseignements des gouvernements et des Sociétés nationales du pays où a eu lieu la disparition ou la captivité. Si on ne trouve pas l'information, on ouvre une enquête.
      © Photothèque CICR (DR) / F. Boissonnas / hist-00581-03
  • Agence internationale des prisonniers de guerre. Service de recherches. À cette époque, la mécanographie – méthode permettant le traitement mécanique de l'information grâce à des cartes perforées – n'est pas encore suffisamment développée et le travail de classement se fait manuellement, ce qui, pour un nombre aussi immense de données, exige beaucoup de minutie et des trésors de persévérance.
  • Agence internationale des prisonniers de guerre. Le fichier britannique. Deux grands services sont créés, celui de l'Entente et celui des Empires centraux. Dès les premiers temps du conflit, la question de la reciprocité dans la transmission par les gouvernements des listes de prisonniers à l'Agence se pose et le CICR doit négocier avec les différentes parties.
  • Agence internationale des prisonniers de guerre. Section allemande. Pour le fonctionnement de l'Agence, il est essentiel que toutes les informations soient centralisées à un endroit. Une décentralisation est tout de même possible en cas par exemple de front distinct. Ainsi les informations sur les Allemands fait prisonniers sur le front russe ainsi que ceux des prisonniers russes en Allemagne, sont traitées par la Croix-Rouge danoise à Copenhague à qui l'Agence a confié cette tâche.
  • Agence internationale des prisonniers de guerre. Service des disparus. Les méthodes de recherche évoluent au cours de la guerre. En 1915 par exemple l'Agence se met à enquêter directement auprès de certains responsables de camps. En 1916, en plus des renseignements obtenus auprès des autorités, l'Agence va chercher à en obtenir auprès des camarades des disparus en leur faisant parvenir systématiquement un questionnaire. Le travail est immense, mais les réponses affluent en très grand nombre.
  • Agence internationale des prisonniers de guerre, service civil, section Belgique et Alsace-Lorraine. À l'époque de la Première guerre mondiale, les civils ne sont pas encore protégés par des traités comme le sont déjà les prisonniers militaires. Pourtant leur situation est souvent autant dramatique, en particuliers pour les civils résidant en pays ennemis ou en territoires occupés et les fugitifs, réfugiés ou évacués. La section civile de l'Agence traite leur cas en parallèle de ceux des militaires, avec le
  • Agence internationale des prisonniers de guerre. Service dactylographique et des copies. Pour que les services de l'Agence puissent fonctionner, il faut que les relations postales et le transport fonctionnent entre les pays. Le CICR va entreprendre de nombreuses démarches pour l'amélioration de la communication postale et télégraphique, pour obtenir des priorités spéciales et pour que les messages franchissent les lignes de front.
  • Agence internationale des prisonniers de guerre. Service de transmission de correspondance. Les longues durées de détention provoquent de graves cas de dépression parmis les prisonniers, ce qu'on nomme alors la psychose des barbelés. L'Agence crée alors en faveur des prisonniers détenus depuis plus de trois mois, le message express qui comprend un maximum de 20 mots, qui peut être considéré comme l'ancêtre de l'actuel Message Croix-Rouge.
  • Transport des colis destinés aux prisonniers de guerre et transmis par l'Agence internationale des prisonniers de guerre. Durant la guerre, plus d'1 800 000 colis ont été distribués aux prisonniers de guerre par l'intérmédiaire de l'Agence.
  • Prussia, Stettin, 1920. L’armistice de novembre 1918 n’entraîne pas la fermeture de l'Agence internationale des prisonniers de guerre qui poursuit ses activités d'information dans le cadre des grandes opérations de rapatriement des prisonniers. Ici le rapatriement de prisonniers de guerre russes sous les auspices du CICR. L'Agence ferme fin 1919, mais ses tâches sont reprises par une structure permanente, le Service de recherche du CICR.

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