Deux détenus commencent leur journée de travail dans le champ de niébé.
Deux détenus commencent leur journée de travail dans le champ de niébé.
Le niébé, ce haricot originaire d’Afrique de l’Ouest, pousse sur cinq hectares du champ pénitentiaire.
A Kéniéroba, on plante aussi quelques manguiers pour renforcer l’ancrage des autres plantes dans le sol.
La culture du maïs, la plus importante, s’étend sur 20 hectares.
Un agronome du CICR et le responsable du centre pénitentiaire contrôlent la qualité des plantes de maïs.
Début des récoltes avec le coup de machette symbolique du directeur régional des centres pénitentiaires de la région de Koulikoro.
Parce qu’un champ a besoin d’eau, le CICR a également installé un château d’eau relié à une installation de panneaux solaires pour l’électricité.
L’adduction d’eau pour irriguer les 30 hectares du champ pénitentiaire de Kénieroba.
A 75 km de Bamako, à Kéniéroba, des détenus des centres pénitentiaires de la région cultivent eux-mêmes 30 hectares de terres agricoles. Ce projet de champ pénitentiaire contribue à améliorer l'alimentation des détenus et leurs conditions de détention et facilite également leur réinsertion future dans la société.
Le CICR, en partenariat avec le ministère de la Justice du Mali, apporte depuis deux ans un soutien technique et financier à ce projet. Sous la supervision des agronomes du CICR et grâce à la donation de semences, d'engrais, d'herbicides et de matériel agricole, les 30 hectares de terre produisent désormais du maïs, des haricots niébés et des arachides.
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