« Au début, nous avions ce que l'on appelle du «one way communication », c'est-à-dire que l'on communiquait pour la communauté. Nous avions nos propres méthodes d'évaluations que nous adaptions selon ce que l'on pensait être notre apport aux communautés », explique Paulin Bashengezi, coordinateur communication du CICR en RDC. Or cette approche a parfois abouti à une assistance pas adaptée aux besoins des communautés.